« Si l’engagement du patient était un médicament, ce serait le blockbuster du siècle, et on considérerait le fait de ne pas le prescrire comme une faute professionnelle. »
— Leonard Kish, conseiller en technologies de la santé, directeur et cofondateur de VivaPhi
“S’il y a une collaboration entre les patients et familles et les gens qui les traitent, on va vraiment améliorer la qualité et la sécurité des services de santé.”
— Maureen O’Neil, présidente, Fondation canadienne pour l’amélioration des services de santé
« Le NHS (National Health Service) connaît une période de changement sans précédent. La demande nous oblige à apporter des améliorations à la qualité des soins et à la capacité de les fournir, parallèlement à une réduction des coûts. Or il y a deux stratégies aptes à relever ces défis, à savoir donner au patient un rôle accru dans la gestion de ses soins et améliorer l’efficacité dans la fourniture des soins. En réalisant une évaluation de la capacité du patient (patient activation measure) à gérer sa santé et en utilisant l’information ainsi obtenue pour optimiser la fourniture des soins, nous avons en main un mécanisme fondé sur des données probantes pour relever ces deux défis. »
— Judith Hibbard Supporting people to manage their health: An introduction to patient activation, King’s Fund 2014. (Pour en savoir plus)
« On peut tirer une première leçon des exemples soumis, soit les avantages découlant de l’exploitation des ressources en dehors du système de santé officiel. Cela veut dire d’envisager les patients et leurs aidants non seulement comme des sources de besoins, mais aussi comme des actifs dans l’offre de soins directs, des fournisseurs d’information et de motivation au sein de leur communauté et des agents du changement au sein des services de santé. »
— Tiré d’un aperçu global d’initiatives d’engagement des patients par six All Party Parliamentary Groups britanniques (Voir un résumé de leurs recommandations)
« Nous devons rapidement changer la mentalité du secteur de la santé. Le fait que 6 omnipraticiens sur 10 disent avoir recours aux outils de la santé électronique montre qu’ils s’y intéressent, mais pas suffisamment. Il est de faire le grand saut ! Et seulement 9% des hôpitaux qui donnent aux patients accès à leurs propres dossiers médicaux… c’est aberrant ! Je veux que les gouvernements, les sociétés de haute technologie, les assureurs, les pharmaceutiques et les hôpitaux unissent leurs efforts pour créer un système de santé novateur et rentable — avec plus de contrôle et de transparence pour le patient. »
— Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne